samedi 10 avril 2010

Deux couilles une bite. Les miennes. Rien que ça.

Savoir s'il ne s'intéresse qu'à ma queue ou bien davantage de moi... ?
Sympa, vraiment très beau, très bien foutu, il me biberonne, il me biberonne.

Marié, intégré. Discret, il faut être discrets. Mais les coins tranquilles le soir se font de plus en plus rares en ville... Les terrains vagues et chantiers se terminent et finissent en trottoirs d'immeubles de bureaux imperméables.

Il ne veut que ça : l'avoir dans la bouche, la pomper, la pomper, que je lui tienne le crâne pour lui baiser la bouche... et lorsqu'il réussit à me faire venir, sa bouche n'en peut plus, plus rien n'existe que l'arrivée de mon foutre... il s'en couvre la barbe, s'en délecte et jouis.

On se quitte, et on se revoit, une autre fois, n'importe où, rebelote. Y'a que ma queue qui compte, qu'elle bande, qu'il la pompe et qu'elle crache.
Ma queue.